En finir avec les idées fausses sur les pauvres et la pauvreté / ATD Quart monde ; [auteurs, Jean-Christophe Sarrot, Bruno Tardieu et Marie-France Zimmer] ; [préface de Costa-Gavras]

Date :

Type : Livre / Book

Langue / Language : français / French

ISBN : 978-2-7082-4503-7

EAN : 9782708245037

Pauvres -- France -- 1990-2020

Pauvreté -- France -- 1990-2020

Classification Dewey : 362.5

Sarrot, Jean-Christophe (1965-....) (Secrétaire / secretary)

Hédon, Claire (1962-....) (Secrétaire / secretary)

Zimmer, Marie-France (1958-....) (Secrétaire / secretary)

Costa-Gavras (1933-....) (Préfacier, etc. / author of introd)

Résumé / Abstract : La 4e de couverture indique : "Plus les inégalités augmentent, plus elles sont présentées comme le résultat d’une compétition économique où les vainqueurs démontrent leurs qualités et les vaincus leurs inaptitudes. Les pauvres sont sur le banc des accusés. S’ils sont pauvres, ce serait "de leur faute". Le chômage, ce serait à cause d’eux, car « si l’on veut travailler, on trouve ». Les sans-domicile ? "S’ils sont à la rue, c’est qu’ils l’ont choisi". Le manque de revenus ? "On ne vit pas trop mal avec un RSA !". Au centre de ce procès, le "cancer de l’assistanat" favorisé par "un État qui dépense trop pour la protection sociale". Cibles privilégiées des attaques, les réfugiés, qui "viennent profiter de notre système de santé". Fort de ses 70 000 exemplaires diffusés lors des deux premières éditions, ce livre entièrement mis à jour par ATD Quart Monde réplique point par point à 117 idées reçues dont une trentaine inédites. Accessible à un grand public, cet ouvrage démontre, chiffres, documents offciels et travaux de chercheurs à l’appui, que cette stigmatisation des pauvres repose non sur des faits, mais sur des discours qui masquent les véritables causes de la misère. Enrichi par les apports de 14 partenaires, cet antidote à la mise à l’écart des pauvres propose des idées neuves pour éradiquer la misère. Et si, au lieu d’élever des murs de préjugés, on construisait les ponts d’une société reposant sur l’égale dignité de chacun ?"