Une artiste engagée : variations sur Nil Yalter / [textes de Philippe Artières, Pascale Cassagnau, Anne-Marie Duguet... [et al.]

Date :

Type : Livre / Book

Langue / Language : français / French

Langue / Language : anglais / English

ISBN : 979-10-91490-30-6

EAN : 3760083750182

Yalter -- Nil -- 1938-.... -- Critique et interprétation

Prison de la Petite-Roquette -- Paris

Prisonnières -- France -- Paris (France)

Installations (art)

Yalter, Nil (1938-....) (Metteur en scène / director)

Croiset, Nicole (Collaborateur / collaborator)

Blum, Judy (19..-....) (Collaborateur / collaborator)

Roy, Jean-Noël (1927-....) (Metteur en scène / director)

Duras, Marguerite (1914-1996) (Interviewer / interviewer)

Résumé / Abstract : "Soit une artiste, Nil Yalter, qui ne conçoit l'art que comme un engagement politique. Soit un parcours artistique empreint des thèmes de l'enfermement et de l'émancipation. Soit une installation composite, La Roquette, prison de femmes (1974-1975), acquise par le Centre national des arts plastiques dès sa création. Soit un film, coeur de l'installation, où la mise en scène et la plasticité des images immergent le spectateur dans le milieu carcéral. Soit Mimi, une ex-détenue qui témoigne librement, en voix off. Soit un recueil de textes de Philippe Artières, Pascale Cassagnau, Anne-Marie Duguet, Fabienne Dumont, Mimi et de Melis Tezkan, qui sont autant de variations sur Nil Yalter et son oeuvre. En bonus DVD, un document (Ina), de 1967, réalisé par Jean-Noël Roy, pour Dim/Dam/Dom, où Marguerite Duras s'entretient avec la première femme directrice de prison en France, en poste à la Petite Roquette. " [Source : jaquette]

Résumé / Abstract : "Le film La Roquette, prison de femmes est issu d’une installation multimédia éponyme de Nil Yalter réalisée, en 1974, en collaboration avec l’artiste Judy Blum et la réalisatrice Nicole Croiset. Cette œuvre multiple est née d’une rencontre fortuite avec Mimi, une ex-détenue de la prison de la Petite Roquette. Elle se compose d’une bande-vidéo en noir et blanc, d’une série de dessins, de photographies et de la transcription intégrale du récit de Mimi. Pour le film, cette dernière accepte d’enregistrer directement son témoignage, sur un magnétophone, sans témoin, librement. Il est transmis en voix off. Le travail de mise en scène et la plasticité des images immergent le spectateur au cœur de la vie d’un milieu carcéral sexiste et rendent sensible l’enfermement physique et mental des prisonnières."